Saturday Geek Fever

Chris Rock - Le Controle Des Armes [Humour]

 

Chris Rock - Le Controle Des Armes [Humour]
Vidéo envoyée par Lyricis

Lors de l'un de ses One Man Show, Chris Rock a donner son point de vue sur le controle des armes

Dbk chris rock

 

Dbk chris rock
Vidéo envoyée par doughbake

A Chris Rock public service broadcast on how not to get your ass kicked by the police!

parodie agence tout risques

 

parodie agence tout risques
Vidéo envoyée par stt1allstar

Enorme en connerie !

M.Carey & B. McKnight-Whenever You Call

 

M.Carey

Brian McKnight - Still

 

Brian McKnight - Still
Vidéo envoyée par Brian-McKnight

Brian McKnight - Still

- (C) 2001 Universal Motown Records, a division of UMG Recordings, Inc.
Universal Music Division Mercury

Brian McKnight - Let Me Love You

 

Brian McKnight - Let Me Love You
Vidéo envoyée par Brian-McKnight

Brian McKnight - Let Me Love You

- (C) 2002 Universal Motown Records, a division of UMG Recordings, Inc.
Universal Music Division Mercury

Brian McKnight - Back At One

Un grand artiste pas assez connu du grand public en France hors des milieux adorant ce style de musique.

Brian McKnight - Back At One
Vidéo envoyée par Brian-McKnight

Brian McKnight - Back At One
R & B - (C) 1999 Motown Records, a Division of UMG Recordings, Inc.
Universal Music Division Mercury

Quelques prods grosses et petites pour 2008

A chaque année nouvelle année qui s’annonce le fan de cinéma voit une question récurrente se poser à lui : va-t-on me faire avaler la même soupe que l’année dernière encore et encore. Les bonnes productions se font de plus en plus rares et l’océan de nanars de plus en plus conséquents. Il est toujours comique de se prendre un navet entre potes mais cela devient juste pénible quand on remarque l’ultra présence nanariphere dans les salles. 2008 va-t-elle changer la donne bonne question, l’avenir pour être honnête ne semble pas mauvais du tout reste à voir si au final si ces blockbusters et films d’auteurs tiendront leurs promesses.

 

 

 

 

 

Fabrice Luchini- Le point sur Robert

Fabriche Luchini

Lectures particulières de Paul Valéry, Roland Barthes, Chrétien de Troyes, Molière... et ses propres textes. 

Quand on en arrive au cas de Fabrice luchini, pas de demi mesures. Soit on déteste ou soit on adore. Le talent agace parfois, chose incompréhensible pour quelques rares irréductibles…soyons réaliste ce type est un phénomène incroyable et encore les qualificatifs rendant justice à l’immensité de son talent son de plus en plus difficiles a trouver. Aller voir un spectacle de Luchini c’est assister un peu à la psychanalyse d’un fou qui vient vous exposer tout ce qui se bat dans sa tête. Chose incroyable il vous fait réaliser en l’espace d’un spectacle qu’un fou comme lui est parfois juste plus normal que les gens que vous croisez tout les jours. Si être fou c'est être lui et donner autant aux autres, aucune raison de se priver d’une telle leçon de générosité. On en sort moins bête qu’en y entrant et on ne désire qu’une chose retourner le revoir encore et encore…

 Prolongations a partir du 25 janvier, va falloir courrir pendant qu’il y a encore des places…

Hitman

Hitman Réalisé par Xavier Gens Avec Timothy Olyphant, Dougray Scott, Olga Kurylenko

Est-ce qu’un bon jeux vidéo deviendra forcément un bon film ? La réponse dans 80% des cas voir même plus est…non ? Hitman déroge t-il à la règle, pas le moins du monde. Avantage certain par rapports à beaucoup d’autres, il reste mis en scène avec un certain talents et ne donne pas l’impression que le réalisateur se moque de son audience. De nos jours c’est une notion qui se perd alors inutile de se priver de le mentionner quand un réal n’oublie pas les bases de son job. Malgré les bonnes intentions évidentes, force est de constater que le produit final reste malheureusement convenu. La faute à de nombreuses coupes qui se sentent lors du visionnage. Le film à été épurer pour devenir un pg13 au lieu du rating R RATED de départ. Résultat on se retrouve devant un métrage classique avec le tandem héroïne et tueur bien méchant qui au final se découvre un cœur…sortez les violons.

Second problème et pas des moindres le héros. Timothy Olyphant au demeurant bon acteur n’est clairement pas crédible dans la peau de ce tueur impassible. Rôle qui à l’origine était pour Vin diesel ( il est bon de le rappeler). D’un bout à l’autre on le regarde avec un léger sourire tellement il ne correspond pas au personnage originel. Il n’est pas mauvais mais juste pas taillé pour ce rôle de « bad guy ». Olga Kurylenko quand à elle fait avec ce qu’on lui donne, à savoir jouer la belle plante. Dommage de sous utiliser une actrice avec un tel potentiel sous jacent. Mais l’avenir devrais lui rendre justice. Au final un produit qui ne vous provoquera pas de haut le cœur trop violent mais qui une fois en dehors de la salle ne vous laissera strictement aucun souvenir. La faute à un scénario déjà vu 100.000 fois et souvent en tellement mieux.

Ma vie n'est pas une comédie romantique

Ma vie n’est pas une comédie Romantique
Réalisé par Marc Gibaja Avec Gilles Lellouche, Marie Gillain, Laurent Ournac

Avec un titre pareil on avance a reculons, pourquoi ? Humm sûrement car cela fait vibrer une corde sensible chez celui qui franchit le seuil de la salle obscure. Comme le résume parfaitement le principal protagoniste du film, généralement lorsque l’on aime ce genre de comédies cela veut dire que l’on à une vie totalement à l’opposé de ce qu’on voit à l’écran. Y’a du vrai et du faux c’est un fait mais là n’est pas la question, la dite question est juste de savoir si ce petit film sans prétentions arrive à toucher son cœur de cible ou se prend t il les pieds dans le tapis en chutant sur les clichés qu’il dénonce.

Un partout la balle au centre. La dernière moitié du film n’échappe pas à la sainte règle des comédies romantiques. Il s’aime se perde lutte pour se retrouver et se retrouve…parfois. Cela veut il pourtant dire que l’ensemble manque de tenue. Pas du tout ! La force numéro un de ce film est Gilles lelouche. Doué d’un certain sens du comique et d’un charisme certain, il porte avec brio sur ses épaules ce film qui sans être le chef d’œuvre de l’année se laisse voir avec un plaisir certain. Les inconditionnels de Marie Gillain ne seront pas en reste car même si son rôle n’est pas aussi passionnant que cela, elle s’en tire avec les honneurs. A noter la plaisante surprise de Laurent Ournac qui sortit de ses rôles sur Tf1 campe un gentil geek un peu trop ado sur les bords assez attachants.

 Un sympathique film sans prétentions qui fait passer un bon moment que demander de plus ?

Indiana Jones and the kingdom of the cristal Skull

Impossible pour qui que ce soit de ne pas être tout fou à l'annonçe d'un Indiana Jones 4. Perso je le suis. Voici quelques photos histoire de patienter et de ronger son frein...ca à l'air bien...ahhhhhhhhhhh un trailer didiou!!!!!

Les photos sont de Annie Leibovitz pour la dernière édition de Vanity Fair.
L'affiche est  la couverture du comic book ( a paraître chez Dark Horse comics) et elle est l'oeuvre de Steve Anderson. Enjoy...



 

Alien Versus Predator 2: Requiem...la mort d'un mythe

Réalisé par Colin Strause, Greg Strause Avec Steven Pasquale, Reiko Aylesworth, John Ortiz

 Parfois, on se prend à rêver qu’Hollywood va pondre un concept incroyable. Du genre de ceux qui vont vous coller dans votre siège durant la séance entière. Alien vs Predator avait tout pour lui, du moins sur le papier, car sur la pellicule il en fut autrement. AVP 2 clamait haut et fort un retour au source, plus de gore, moins de blagues débiles, des combats qui vous scotchent…hmmm disons le bien tout cela a du se perdre en route car au final, on se retrouve avec un nanar encore pire que le premier…oui l’exploit est là et dieu que la barre avait été mis très haut avec le 1^er volet.

AVP2 compile quelques bonnes idées qui malheureusement sont mise à l’emporte pièces dans un torrent de n’importe quoi. Les aliens pour commencer, pas inquiétant, pas flippant, juste banal. Les deux réalisateurs pompent allégrement la façon de les mettre en scène dans Aliens. En gros cela sent le déjà vu, ajouter à cela une mise en scène plate et un éclairage déplorable par moment ne mettant pas du tout en valeur les aliens ni le predator d’ailleurs. En fait c’est bien là le problème tout est fait de travers, du scénario (d’une connerie profonde…et pourtant filmer avec un premier degré désarmant) jusqu’au jeux des acteurs ( que dire que dire…hmmm rien c’est mieux en fait). AVP2 en étant en effet plus violent et sec que son prédécesseur ne gagne pas pour autant ses lettres de noblesses. Il ne suffit pas de faire exploser des têtes à la pelle pour que l’on hérite d’un grand film. AVP2 donne juste l’impression d’être un film où ni la production ni les réalisateurs ne voyaient quoi que ce soit de bon et ce depuis le début. Résultat final un magma pas très ragoûtant de plus à mettre au compte des menus ciné best of big mac de Hollywood. A éviter pour ne pas avoir mal à l’estomac ni ailleurs en fait.